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Problématiques alimentaires, histoires, causes & solutions

Problématiques Alimentaires Histoire, Causes & Solutions

Table des matières

Histoire de l’involution alimentaire humaine

Changements alimentaires & leurs causes

Le modèle de l’association Sādhanā

Bibliographie générale

Bibliographie sur santé et biodiversité

Bibliographie sur agroécologie, santé et maladie

 

Histoire de l’involution alimentaire humaine

Les habitudes alimentaires de l’être humain sont ancrées dans leurs gènes et leur microbiome depuis 1.9 à 0.4 millions d’années (homo erectus), 350 000 années (homo antecessor), 100,000 à 30,000  (homo sapiens ou anatomiquement moderne humain (AMH)).

 

Les changements d’habitudes alimentaires arrivent donc sur 0.4 à 0.01% du temps d’existence de l’être humain & représentent en changement exponentiel par rapport à ces autres 99.6% à 99.99% d’existence ne permettant aucun temps d’adaptation à l’organisme humain, à son microbiote et à l’ensemble des autres espèces vivantes.

 

Les scientifiques et statisticiens admettent depuis peu de révéler les statistiques alarmantes du déclin de la longévité humaine et de l’apparition de nombreuses maladies nuisant grandement à la qualité de vie d’une majorité écrasante de la population tout particulièrement dans les pays développés.

 

Il est admis par une quantité croissante de médecins et scientifiques chercheurs que la cause primordiale de cette diminution de l’espérance de vie humaine et de l’apparition de toutes ces afflictions pathologiques est due aux problématiques alimentaires énumérées ci-après, qui se répercutent sur le microbiome et entraînent subséquemment de nombreuses pathologies et conséquences délétères sur corps et cerveau.

 

 

Photographie illustrant les modes alimentaires du quotidien des peuples protoslaviques (photo de Marcin Stępień / Agencja Gazeta).

 

Changements alimentaires & leurs causes

1. Manque d’accès à des aliments de variété ancienne riche en MAC-s (macrobiota accessible carbohydrates ou glucides spécifiques de la flore symbiotique), à haute densité nutritionnelle, à index glycémique bas, à indice acide (PRAL) bas…

 Diminution de l’agriculture traditionnelle

 Raréfaction des petites exploitations

 Problématique de la disparition des semences des aliments de variété ancienne riche en MAC-s, à hautes densités nutritionnelles, à index glycémique bas, à indice acide (PRAL) bas…

2. Sélection de variété alimentaires (végétales, laitières etc.) sur des critères productivistes en privilégiant le rendement et dans l’ignorance des multi-conséquences délétères de la qualité nutritionnelle ou prébiotique sur la flore intestinale ou environnementale de l’espèce résultante.

 Prédilection pour leurs hauts rendements et haute productivité etc.

 Non considération pour la qualité nutritionnelle (macro, micro etc.)

 Non prise en compte de l’impact prébiotique sur le microbiote humain

 Non examen pour l’impact de l’espèce sur l’écosystème de flore, faune et microfaune.

3. Sélection de plantes alimentaires à densité nutritionnelle décroissante

 Prédilection pour leurs hauts rendements etc.

4. Sélection de variétés et d’espèces alimentaires sous l’influence de critères d’addictions générés par la dénaturation de l’instinct humain tel que prédilection pour leur haut index glycémique ou à fibre minorée ou autres faiblesses métaboliques

 Décroissance de MAC-s (macrobiota accessible carbohydrates ou glucides spécifiques de la flore symbiotique)

 Méconnaissance et déni des critères physiologiques de santé contre la préférence pour les critères gustatifs exclusifs, la diminution de la nécessité de leur mastication, la vitesse de leur ‘engloutissement’, leur propension à faire croître des micro-organismes responsables d’addiction alimentaire, leurs densités caloriques, la surenchère de l’impact dopaminergique intracérébral etc.

A l’état sauvage les hommes ne sont pas trompés par des troubles de la baisse d’excitabilité de circuit de récompense cérébraux notamment dopaminergique.

5. Utilisation de produits phytochimiques (pesticides, herbicides et engrais) dans l’agriculture conventionnelle, l’agriculture raisonnée & même dans certains produits ‘bio’

 L’agriculture raisonnée est quasiment équivalente à l’agriculture conventionnelle en terme d’utilisation de produits phytochimiques et est reconnue par les spécialistes de l’agroécologie pour ses effets destructeurs.

Le marché de l’agriculture biologique est de manière croissante sous l’emprise de

multinationales dont les produits sont vendus en supermarché mais aussi parfois dans les Biocoop

6. Destruction directe du macrobiome ou flore intestinale symbiotique par les modes alimentaires promouvant les aliments fermentés ou fermentescibles.

 Augmentation de la consommation des levures alimentaires dans tous les plats préparés conventionnels et biologiques (y compris steaks végétaux…)

 Augmentation de la consommation de pains, viennoiseries, alcool, fromages, sauces soja, levures alimentaires, aliments lactofermentés, vinaigres, moutardes, chocolats…

 Augmentation de consommation d’aliments préparés à l’avance…

 Modes alimentaires promouvant la consommation d’ail, d’oignon, de levures alimentaires, chocolats etc. (maintenant tombé en désuétude grâce notamment à la connaissance de FODMAP-s)

7. Destruction directe du macrobiome ou flore intestinale symbiotique par les modes alimentaires promouvant des aliments pauvres en MAC-s (macrobiota accessible carbohydrates ou glucides spécifiques de la flore symbiotique) et promouvant la croissance de bactéries pathogènes

 Régimes hyper-protéinés

 Confusion entre féculents de variétés de céréales riches en MAC-s (macrobiota accessible carbohydrates ou glucides spécifiques de la flore symbiotique) et féculents riches en gluten ou à haut raffinage…

 Augmentation de la consommation de viande, sucre, graisse

8. Diminution de la densité alimentaire des plantes alimentaires

 Industrialisation de l’agriculture, monoculture, appauvrissement des sols, sélections de variétés plus rentables etc.

9. Présence de toxiques, perturbateurs endocriniens, neurologiques, immunitaires, articulaires, digestifs etc.

 Utilisation de pesticides, emballages, exhausteurs de goûts, conservateurs, ustensiles de cuisine etc.

10. Raffinage alimentaire et perte de la valeur alimentaire

 Polissage de grains, épluchage, microfiltration, raffinage du sucre, torréfaction, fermentation …

11. Aliments cancérigènes et hautement pathogènes (entrainent de nombreuses pathologies et perturbations du corps et du cerveau)

 Utilisation d’OGM (Organismes génétiquement modifié)

12. Utilisation d’aliments inadaptés à la capacité physiologique spécifique

 Importation

 Culture hors sol

 Non-respect des saisons

13. Surchauffe des aliments et fabrication de molécules de Maillard (glycation des protéines etc.)

 Augmentation des températures, des modes de cuissons (micro-onde, cocotte-minute), facilité et surabondance des combustibles (tel que gaz, électricité etc.) versus l’homme qui collectait chaque branche pour faire cuire ses aliments dans des zones plus ou moins arides ou très humides où le bois sec est rare…

 Feu de bois remplacé par plaques de cuisson ou gaz à 4 emplacements

14. Surproduction (35% de la nourriture produite gaspillée)

 Surconsommation quantitative et qualitative d’aliments inadaptés aux besoins physiologiques.

15. Mélanges d’aliments incompatibles au sein d’un même repas

 Modes alimentaires et surabondance quantitative et qualitative etc.

 Plat unique préparé sur un seul foyer remplacé versus farandole de plats concoctés sur un large panel d’ustensiles de cuisine et de chauffage (plaques de cuisson, fours, cuits vapeurs, friteuses, crêpières, gaufriers, machines à pain…)

16. Utilisation excessive des modes de conservation alimentaire

 Utilisation de réfrigérateur, congélateurs, boites de conserve permettant de consommer des aliments de 2 h à 1500 jours après leur préparation versus cuisson au jour le jour avant l’invention de l’électricité

17. Désinformation sur les vrais besoins nutritionnels

 Due au libéralisme et le diktat des industriels, multinationales, laboratoires pharmaceutiques, etc.

Etc.

 

 

 

 

 

Schéma illustrant la détérioration contemporaine type de la flore intestinale.

 

Le modèle de l’association Sādhanā

ASSOCIATION SĀDHANĀ
Santé – Biodiversité – Solidarité - Sciences de la Vie

Pour diffuser & sauvegarder connaissances & pratiques

 qui permettent la pleine santé environnementale & humaine globale.

Sadhana œuvre pour la réconciliation des sciences & médecines ancestrales et modernes

incluant Āyurvéda, Naturopathie, Microbiologie, Génétique, Biologie, Agro-écologie…

Sadhana se mobilise pour vous faire accéder à une alimentation à très haute valeur nutritionnelle, micro nutritionnelle & régénérante des espèces microbiotiques bénéfiques cruciales pour la santé.

La sauvegarde de la biodiversité taxonomique, génétique et écosystémique est le point central de la force du travail de composition et de sélection des produits de Sadhana.

Principaux engagement

Sadhana travail sur la biodiversité quantitative & qualitative préserve et ravive la culture de nombreuses espèces végétales de haute importance pour la santé humaine. Ces espèces rares tirées de l’oubli & de l'anonymat peuvent faire valider scientifiquement et empiriquement leur grande valeur thérapeutique.

 

Principaux engagements de Sadhana sont définis par sa charte de qualité à exigence multifacétaire :

- 250 variétés & espèces à haute valeur de biodiversité taxonomique (flore, faune, microbliome végétal, microbiome animal), génétique, écosystémique

- synergisant au sein de chaque composition un nombre très important d’espèces végétales (jusqu’à 30 plantes par sachet d’épices, 28 plantes pas sachet de farines, 60 plantes pas sachet de tisane, etc.)

- utilisant des produits récoltés fraîchement en direct des petits producteurs ou coopérative de petits producteurs

- cultivées dans des environnements privilégiés, sélectionnés ou sites protégés

- utilisant des méthodes agro-écologiques & des protocoles de transformations particulièrement exigeants

- garantissant une mouture très fraîche, respectueuse des fibres prébiotiques, de l'index glycémique, des nutriments...

- exemptes d'un très large spectre de perturbateurs endocriniens endogènes & exogènes

- utilisant produits & combinaisons valorisant le microbiote bénéfique garant de la santé humaine (symbiotique mutualiste MB.)

=> dont la résultante possède une qualité nutritionnelle et micronutritionnelle d'équivalence rare et d'importants bénéfices sur la santé physique et neurologique profonde, protégeant des maladies modernes et procurant le soulagement de nombreux symptômes, vitalité, clarté mentale, paix intérieure...

Biodiversité, agrodiversité, agroécologie

Biodiversité : La biodiversité est la clef de la santé humaine et planétaire car elle est la qualité même de la vie. Selon l’UNESCO elle se définit par la variété des espèces vivantes (animales, végétales et microbiologiques), la variété génétique et la variété d’écosystèmes.
Par ses campagnes d’informations et ses préparations alimentaires faciles à l’emploi, Sadhana :
- sauvegarde environ 150 espèces végétales de plantes alimentaires et médicinales rares et haute valeur nutritionnel et agro-écologique dont plus de la moitié sont menacées,
- préserve et redéveloppe dans les flores intestinales de ses adhérents consommateurs des espèces microbiotiques bénéfiques (symbiotique mutualiste) semblable aux espèces des populations ancestrales ou sauvages mais en voie d’extinction chez les peuples modernes,
- protège de nombreux écosystèmes en donnant des alternatives à la consommation de produits à fort impact écologique type protéines animales, chocolats, café, blé, légumes hybrides…
- aide au développement des petites exploitations qui conservent des connaissances et savoir-faire agro-écologique (modes de cultures, méthode de sélection de semences) qui favorisent la biodiversité génétique, taxonomique, éco systémique et microbiotique humaine.

Écologie, Éthique & Qualité

Écologie, éthique & qualité : Modalité de notre action :
- Transformation et la distribution des meilleurs produits, préparés avec le plus rigoureux, complet et holistique des cahiers des charges et la plus grande implication de technicité et de bienveillance.
- Recherche sur l'action de chaque produit pour améliorer & adapter à la lumière des connaissances millénaires & des sciences de pointe.
- Production agricole de qualité 'āyurvédique' : par le respect, la protection, le soutien, la valorisation de producteurs conscients. Ceux-ci mobilisés par l'action et les valeurs de Sādhana et par leurs qualités intérieures s’appliquent et s’engagent consciencieusement et sincèrement pour vous apporter le meilleur.
- Solidarité: dans l'association Sādhana par la pratique des marges de prix minimum grâce à l'intégration de la main d'œuvre de bénévoles, par la pratique de salaires minimum identiques & de dédommagements en nature pour tous les membres de l'équipe & dans l'association PRĀṆĀYU au secours de la vie des orphelins et des êtres les plus démunis, & riches de connaissances de la planète, à savoir les aborigènes ādivāsi-s.

 

Critères de qualités des matières premières

 Toutes les composantes, épices, herbes, céréales, graines, légumes secs, plantes et huiles des formules proposées.

- d'origine biologique, biodynamique, naturel, commerce équitable, solidaire & local (avec rares exceptions quand pas d'équivalences moléculaires);
- cultivées par des petits producteurs et fermiers;
- élaborées à partir de semences de variétés ancestrales ayant des propriétés physiologiques et une densité nutritionnelle d'exception ;

- élaborées et cultivées selon les rigoureux critères du cahier des charges des sciences de la nature, anciennes & modernes
- fraichement récoltées, ramassées, séchées ;
- contrôlées avec rigueur et sans compromis ;
- conservées avec soin et écologie.

Critères de qualité de la fabrication

Toutes les poudres, farines, semoules, substances mixées, extraites sont:

- issues des meilleures matières premières ;
- combinées selon des recettes variant avec saisons, productions offertes par la Nature, les possibilités des producteurs locaux ;
- associées dans des formulations qui requièrent la connaissance de nombreuses sciences de pointe modernes & ancestrales ;

- très fraîchement moulues, récoltées ou préparées ;
- d'une taille granulométrique de mouture déterminée par le critère rigoureux des sciences āyurvédiques permettant l'optimalité d’indice glycémique, antioxydants (orac), fibres, durée de conservation, préservation parfaite des nutriments, acides gras, valeur gustative...

Rapport qualité prix

Grâce au bénévolat, à la probité des producteurs, les prix de Sādhanā sont très bas en comparaison de la qualité difficilement égalable de ses produits.
Les prix sont calculés sans jamais léser les producteurs et en les encourageant toujours à prendre des marges suffisantes pour ne jamais être tentés de succomber au rachat de leur terres et de leurs productions aux multinationales du bio, à croissance exponentielle. Les marges financières de transformation des Sādhana sont absolument minimales, intègrent seulement le salaire de 2 agents fixes spécialisés de préparation qui travaillent chacun quelques jours par semaine. Toutes les autres tâches de Sādhana sont faites par des bénévoles ou des intervenants reversant leur maigre rétribution à l'association humanitaire PRĀṆĀYU qui ouvre en Inde auprès des plus démunis. Ainsi les produits de Sādhana ont un rapport qualité/prix inégalé et inégalable.
Les adhérents en cure intensive Ayurvédique Sadhana peuvent intégralement & largement se nourrir avec des aliments à très haute densité nutritionnelle pour un budget mensuel entre 68 & 195 euros , budget bien inférieur à la moyenne nationale (Sondage national Sofinco La moyenne du budget alimentaire mensuel des Français célibataires est entre 209 et 249€ (…) et de ceux dont les revenus du foyer sont les plus bas (inférieurs à 1000€) est de 203€.

 

 

 

Bibliographie générale

Lu, Q.Y.; Summanen, P.H.; Lee, R.P.; Huang, J.; Henning, S.M.; Heber, D.; Finegold, S.M.; Li, Z., 2017, Prebiotic

potential and chemical composition of seven culinary spice extracts. J. Food Sci. 2017, 82, 1807–1813.

[CrossRef] [PubMed]

 

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Claesson, M. J. et al., 2012, Gut microbiota composition correlates with diet and health in the elderly. Nature 488, 178–184 (2012).

 

Miguel Toribio-Mateas, 2018, Harnessing the Power of Microbiome Assessment Tools as Part of Neuroprotective Nutrition & Lifestyle Medicine Interventions, mdpi.com/journal/microorganisms, April 2018, DOI: 10.3390/microorganisms6020035

 

Sonnenburg, Erica D.; Sonnenburg, Justin L. (2014). "Starving our Microbial Self: The Deleterious Consequences of a Diet Deficient in Microbiota-Accessible Carbohydrates"

 

Chassard, Christophe; Delmas, Eve; Robert, Céline; Bernalier-Donadille, Annick (2010). "The cellulose-

degrading microbial community of the human gut varies according to the presence or absence of methanogens". FEMS Microbiology Ecology. 74 (1): 205–213. doi: 10.1111/j.1574-6941.2010.00941.x. ISSN 0168-6496. PMID 20662929.

 

Daïen Claire Immediato, Pinget Gabriela Veronica, Tan Jian Kai, Macia Laurence, Detrimental Impact of Microbiota-Accessible Carbohydrate-Deprived Diet on Gut and Immune Homeostasis: An Overview, Frontiers in Immunology, Vol. 8, 2017, p. 548, URL=https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fimmu.2017.00548, DOI=10.3389/fimmu.2017.00548, ISSN=1664-3224  

 

Li Xuan, Watanabe Keita, Kimura Ikuo, Gut Microbiota Dysbiosis Drives and Implies Novel Therapeutic Strategies for Diabetes Mellitus and Related Metabolic Diseases, Frontiers in Immunology, Vol. 8, 2017, (p.1882), www.frontiersin.org/article/10.3389/fimmu.2017.01882, DOI=10.3389/fimmu.2017.01882, ISSN=1664-3224

 

Bibliographie sur santé et biodiversité

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Machovina, B., Feeley, K. J., & Ripple, W. J. (2015, December 1). Biodiversity conservation: The key is reducing meat consumption. Science of the Total Environment, Vol. 536, pp. 419–431. https://doi.org/10.1016/j.scitotenv.2015.07.022

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Bibliographie sur agroécologie, santé et maladie

Connecting Global Priorities: Biodiversity and Human Health A State of Knowledge Review. (2015). In World Health Organisation & Convention on Biological Diversity.

Graça, J., Truninger, M., Junqueira, L., & Schmidt, L. (2019). Consumption orientations may support (or hinder)transitions to more plant-based diets. Appetite, 140, 19–26. https://doi.org/10.1016/j.appet.2019.04.027

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