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Énergie et fatigue psychique en sciences ancestrales et modernes

Énergie et fatigue psychique en sciences ancestrales et modernes

Le jaïnisme et la médecine moderne énumère des causes et des remèdes similaires dans le domaine de l’énergie de la conscience.

Cet article expose comment de nombreux aspects de la science Jaina élèvent l'énergie de la conscience selon les principales recherches médicales.

 

Le Jaïnisme est une tradition scientifique et philosophique très ancienne ayant une des littérature les plus riche et les plus ancienne dans les domaines du yoga, de la médecine et biologie (ayurvéda, pranavaya), le la psychologie, de la philosophie, de la métaphysique, de l’astronomie, etc. Le Jaïnisme est souvent cité en science comparée pour ses étonnantes découvertes très avangardistes.

 

La conscience dans le jaïnisme est appelée cetanā. Le mot dérive de la racine sanskrit cit et de l'éthyma proto-indo-européen ku̯ei (-t)- / kwei-1 (Pokorny 636-37). Les deux racines ont le sens de «observer avec attention, être vigilent, prêter attention» laissant entendre la propension énergétique de la perception volitive.

L'aspect énergétique de la conscience est profondément enraciné dans le Jaïnisme ainsi que dans d'autres disciplines comme l'Ayurvéda (sattva), le Vedanta (satcitānanda, citśakti, citśakta, citśaktya, etc.), le Yoga-darshana, le Sāmkhya, le Bouddhisme, etc. science moderne.

 

De la même manière que le jaïnisme, la neurologie contemporaine échelone les niveaux de performance de la conscience de la clarté mentale, l'énergie psychique, la volonté jusqu’à la fatigue, le brouillard cérébral, l'aboulie, l'apathie, la désorientation, la démence, en fonction de la santé des principaux organes internes et du cerveau.

 

De manière comparable à l'afflux karmique (āśrava) et au bondage karmique (banda), l'étiologie médicale explique que le cerveau peut être affecté par des toxines (comme AGE, SFA, hém-hémoglobine, TMAO, biogène amine, métaux lourds, composés cétoniques , etc.). Toutes ces toxines par des voies différentes obstrueront les tissus nerveux entravant ses fonctions et détruisant ses structures. Progressivement, la conscience peut être altérée, entraînant une fatigue éventuellement suivie de la manifestation de maladies neurologiques.

D'autres physiopathologies de l’altération neurologique affectant la conscience reposent sur une l’inadéquantion qualitative ou fréquentielle dans la consommation alimentaire qui, par dégradation des organes ou tissus internes, entraîne également une hémotoxicité dommageable pour le système nerveux. C’est ainsi que dans l’intégralité des maladies digestives ou nutritjonelles, la notion de fatigue psychique ou brouillard mental est décrite (comme par exemple dans le cas du MICI ou IBS, SIBO, NAFL, l'UC, RCH, maladies de Crohn, dyslipidémie, diabète et syndromes métabolique etc.).

 

De plus, de la même manière que l’arrêt (saṃvara) et l’effacement (nirjarā) du karma, certaines recherches ont montré que l’adoption de comportements sains évite les toxines et active les forces d’auto-guérison qui se traduisent par une amélioration et une guérison en commençant par l’éclaircissement de la pensé, l’amélioration des facultés intellectuelles, etc.

 

Additionnellement, le jaïnisme et de nombreuses recherches s'accordent sur la classification des substances améliorants la conscience (céréales naturelles, légumineuses naturelles, végétaux à faible fermentabilité) et dégradants la conscience (viandes, produits laitiers, huiles, sucres, aliments fermentés et fermentescibles (FODMAP-s)).

 

Enfin, une grande majorité des études sur la fonction de la dopamine valident clairement la pertinence du principe fondamental de Jain de la mise à distance de certains plaisirs sensoriels en tant que voies suprêmes de la vitalisation de la conscience. La science moderne explique ce phénomène en montrant que l’exposition à une nourriture trop concentré en calorie (viandes, poissons, fromage, alcool, aliments gras, aliment sucré, majorité des pains avec levure ou levain, etc) « épuise » les fonctions dopaminergique et crée un état d’altération de la conscience, de dépression et de dépendance aux substances en question.

Ce fait ne surprend pas non plus les anthropologues historiens ou les généticiens qui comprennent que les aliments qui consument et encrassent les fonction de la dopamine sont ceux dont la consommation à atteint des sommet dans la société moderne. Cette alimentation était également celle de certains monarque. La grande majorité de nos ancêtres proches ou des peuples sauvages n’ont pas eu la malchance d’être affecter par les perturbations neurologiques de ces aliments car ils n’avaient pas ou très peut d’accès à ces aliments à trop haute densité en calorique.

 

Ainsi les prescriptions des sciences ancestrales et moderne s’accordent sur l’importance de privilégier des « plaisirs simples » qui conduiront à optimiser à son paroxysme les fonctions dopaminergiques et son corollaire de clarté cognitive, d’énergie mentale, de bonheurs durables profonds, etc.

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