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Améliorer sa santé durablement

Améliorer sa santé durablement

La nature et la vie possèdent une loi fondamentale qui fait toute leur force et leur ingénuité :

la structure détermine la fonction

la fonction détermine la structure

La structure et la fonction sont tellement concomitantes par l’inné et par l’acquis qu’ils posent le dilemme de la causalité de l’œuf et de la poule.

Structure

=>

Fonction

 

Structure

<=

Fonction

 

 

 Table des matières

 

 

Illustrer la fonction sur la structure

L’image la plus parlante est celle du premier cri du nouveau-né (fonction) qui est dit initiateur de la mise en route du poumon (structure).

L’image la plus connue en médecine est celle du système immunitaire qui, exposé aux organismes pathogènes (fonction), acquière les cellules de l’immunité dite acquise (structure).

 

 

L’enseignement essentiel

L’hygiène de vie est la mise en place d’une fonction saine pour favoriser la santé dans la structure des tissus, organes, cellules.

L’enseignement le plus profond à tirer de cette loi c’est ce que l’habitude qui se croit surpuissante source de notre bonheur est une puissante fonction capable de transformer la maladie en santé et d’épanouir les potentiels latents des êtres vivants sur les plans :

- génétiques (épigénétisme)

- cellulaire

- organique (incluant le cerveau, glandes, foie, rein, etc.)

- tissulaire (incluant peau, muscle, os, etc.)

- micro-biotique (flore intestinale, flore muqueuse, etc.)

- etc.

Comprendre l’importance de la fonction sur la structure c’est donc réaliser la force insoupçonnée des individus de devenir maîtres d’eux-mêmes, de leur destin, de leur santé profonde et de leurs potentiels.

 

Pour que cette dynamique soit durable et pérenne, peut s’acquérir le savoir du comment modifier la fonction pour équilibrer les pratiques de santé idéales avec les habitudes ancrées.

 

  

 

Fonction sur structure dans la maladie

 

Cercle vicieux de la maladie et de la perte des potentiels de santé

Fonction

=>

<=

Structure

Mauvaise habitude

= fonction inadaptée à la nature de la structure à laquelle elle est appliquée

=>

Structure qui se déforme

 

Perturbation de ses fonctions

Perte quantitative et qualitative de ses potentiels

<=

Structure altérée

 

 

Fonction sur structure dans la santé

 

Cercle vertueux de la guérison et du plein potentiel de santé

Fonction

=>

<=

Structure

Bonne habitude

= fonction adaptée à la nature de la structure à laquelle elle est appliquée

=>

Structure qui se rétablie

 

Reprise de sa fonction

Restauration quantitative et qualitative de ses potentiels

<=

Structure rééquilibrée

 

 

 

Définition de la guérison profonde

La guérison profonde est celle du patient qui prend conscience que la cause de sa pathologie est due une mauvaise habitude et que la santé peut émerger de l’adoption d’une bonne habitude…

 

Mécanisme de la guérison

Lorsqu’un être, sous l’impulsion d’une prise de conscience, veut convertir ses mauvaises habitudes contre des bonnes, il fait appel à la loi de la fonction que détermine la structure.

Ici les bonnes habitudes représentent une fonction améliorée qui sera capable de transformer la structure du corps pour améliorer sa santé ou son potentiel.

 

 

L’art de la guérison ou de la santé profonde

L’art de la guérison ou de la santé profonde est celui de faire cohabiter les mauvaises habitudes qui ont modelées la structure pendant longtemps avec les bonnes habitudes. Pour ce faire il faudra trouver l’équilibre entre deux entités aux attractions différentes.

 

 

Les acteurs de la scène

Comprendre que la fonction détermine la structure permet de comprendre que notre corps, nos habitudes, nos goûts, nos préférences sont le fruit de nos habitudes. C’est ainsi que cette résultante des conditionnements se nomme l’habitus

 

Fonction

=

HABITUDES

(conditionnements & acquis familiaux, sociétaux, ethniques, etc.)

=>

<=

Structure

=

HABITUS

(fruit des habitudes, etc.)

 

 

 

La raison, l’habitus & surmoi

 

Quand les habitudes nous dominent

(dominance de l’habitus primaire)

Le sujet n’entreprend pas d’essayer de changer sa fonction pour modifier sa nature. Les causes et facteurs de l’inertie étant la désinformation, la non-information, le brouillard mental (généré par l’état de maladie ou de non-physiologie), la tendance immobiliste de l’entourage, la confusion entre bonheur et hédonisme (et ignorance de la notion d’eudémonie), etc.

Quand nos idéaux nous tyrannisent

(dominance du surmoi ou habitudes idéales)

Le sujet essaie d’assujettir totalement sa nature à ce qu’il croit être idéal, sans tenir compte de ses obligations minimales vis à vis de son habitus et donc de l’importance du compromis entre habitude et idéal et de la mise en place progressive et douce de bonnes résolutions.

Structure

(corps & cerveau involuants)

=>

Fonction (mauvaises habitudes)

Fonction

(bonnes habitudes mises en place brutalement)

=>

Structure

(corps & cerveau en évolution cyclique non durable)

Non évolution

Risque d’involution de la structure et de la fonction

Cercle vicieux de la maladie et des pertes des potentiels

 

 

Evolution trop rapide de la structure.

Risques majeurs due à cette tyrannie du surmoi :

1. ‘Chasser le naturel [trop violemment] il revient au galop’

2. ‘mauvaise fois’ par excès de souffrance de la brutalité du changement type ‘ils sont trop verts et bons pour les goujats’ (type déni ou dissonance cognitive)

3. État dépressif dû à la soudaineté des changements de sources dopaminergiques et le manque de temps pour les circuits dopaminergiques de se réadapter (voir article sur la dopamine).

 

 

Quand la raison domine ou le règne de la créativité & du compromis

Le surmoi et l’habitude cohabitent paisiblement. Structure et fonction s’inter-influencent doucement, permettant une habituation progressive à de meilleures habitudes.

Fonction

(bonnes habitudes mises en place progressivement)

=>

<=

Structure

(corps & cerveau en évolution vers la santé durable)

Pour que le naturel (ou l’habitude) ne reviennent pas au galop il est donc possible de :

1. les accompagner jusqu’à la porte,

2. leur expliquer gentiment qu’elles ne sont plus faites pour vivre dans ce lieu,

3. les remercier de nous avoir tenu compagnie jusque-là car ils furent aussi source d’enseignement,

4. leur dire que s’ils prennent leur temps pour partir ce n’est pas grave car ils étaient là depuis tellement d’années (ce qui est important n’est pas urgent),

5. leur proposer temporairement de mettre leurs affaires dans des cartons et de prendre le canapé du salon en attendant d’avoir un autre logement,

etc.

 

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